Les origines du magasin
L’origine du 2, rue Montorge à Grenoble a toujours été lié au métier de la pâtisserie. En effet, depuis l’époque de Lesdiguières, il y a toujours eu à cet emplacement un four de pâtissier ou de boulanger. C’est en 1879 que Monsieur Gojon officialisa la pâtisserie, et tenu ce commerce pendant 40 ans, jusqu’en 1919.
En 1919 que Mr Henry Fanton (Père) acheta la pâtisserie qu’il transmettra plus tard à son fils, Jacques. A l’époque, la famille Fanton était domicilié sous le passage du jardin de ville (à l’actuel emplacement des glaces). L’entrée rue Montorge était alors un bureau de tabac racheté par la suite par Monsieur Fanton (père) afin d’en faire un salon de thé qui est aujourd’hui l’entrée actuelle du Chardon Doré. Le bureau de tabac s’est retrouvé à l’angle, à la place de l’agence immobilière actuelle. Ces 2 générations ont tenu Le Chardon Doré jusqu’en 1993.
La reprise du magasin
Après 74 ans d’activité familiale, Monsieur Fanton Jacques vendu Le Chardon Doré à Madame et Mademoiselle Todeschini, issues elles-aussi d’une famille de pâtissier depuis 5 générations ( Pâtisserie Les Ecrins – 11, rue de Bonne à Grenoble – sans doute la plus vieille Pâtisserie de Grenoble). Depuis 1993, la pâtisserie a connu d’importantes évolutions en passant par une série de travaux en 1994 (ouverture de la terrasse sur le Jardin de Ville et nouveau look pour le Chardon Doré), et enfin, une vrai transformation des lieux en 2010. Aujourd’hui, le Chardon Doré détient la marque déposée de la Coque de Noix de Grenoble, véritable Mascotte grenobloise, emballage à spécialité grenobloise, que Le Chardon Doré distribue chez ses confrères grenoblois.
C’est grâce à l’âme passionée de ces familles que Le Chardon Doré a toujours su évoluer pour vous transmettre encore aujourd’hui son savoir-faire traditionnel